De la privatisation de l’état

De la privatisation des Etats.

La France est-elle encore un Etat souverain ?

La France n’a ni le monopole de sa création monétaire, ni celui de créer ses lois.

La création monétaire est un monopole des banques privées par l’octroi de crédit avec intérêts, aux entreprises et aux particuliers. 95 % de notre masse monétaire sont des crédits (dette), dont les intérêts, venant de cette même masse monétaire sont accaparés par les banques privés qui s’enrichissent donc perpétuellement. Par cette puissance financière ainsi acquise, elles décident des politiques à mener et placent les personnes de leur choix aux postes clés, en utilisant les grands médias dont elles sont souvent actionnaires. Comme si ce n’était pas suffisant, elles tirent parti des paradis fiscaux afin d’éviter l’impôt, impôt que nous payons donc à leur place, ce qui contribue encore à leur gavage et à notre appauvrissement.

La France n’a plus le monopole de créer ses lois. L’assemblée nationale est devenue une simple chambre d’enregistrement de textes émis par le gouvernement, lui-même soumis à différentes pressions de cabinets privés, des lobbyistes (mot politiquement correct désignant la corruption), des

conseils de ceci ou cela, d’organismes anti-démocratiques comme la Banque mondiale, la BRI, l’OMC, le FMI, la BCE, Davos, l’OTAN, l’OMS, Bidelberg et d’autres …

Pour compléter le tableau de NOS maîtres, l’EUROPE ! Est elle-même sous contrôle de ces organisations précitées. EUROPE QUE NOUS N’AVONS PAS VOULU EN 2005 !

Le but poursuivi par ce système oligarchique planétaire est la mise en place d’un nouvel ordre

mondial. Une structure mondiale autoritaire et dictatoriale dans laquelle les populations n’auront

pas leur mot à dire.

Que reste-t-il donc à l’État ? L’exécutif et ses forces de l’ordre. Il faut bien que nous obéissions afin

qu’ils poursuivent leur dessein funeste.

Le mouvement des gilets jaunes est un embryon de résistance à ce nouvel ordre mondial qui veut asservir les peuples. Il est motivé par le désir de reprendre notre droit politique, de faire passer l’intérêt collectif avant les intérêts privés, conte le financiers et les grands groupes monopolistiques.

On est là !

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